Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

 

RESUME DU FILM

Pékin, 1900. La révolte des boxers prend de l'ampleur et les autorités chinoises sont divisées : le général Jung-Lu presse l'impératrice Tzu-Hsi d'arrêter les fanatiques, tandis que le prince Tuan lui conseille de les aider à chasser les étrangers. 

Face à la menace de conflit, les délégations étrangères organisent leur défense. Le major Matt Lewis (Charlton Heston) arrive à Pékin à la tête d'un détachement chargé de protéger l'ambassade américaine. 

Il y rencontre la baronne Nathalie Ivanoff (Ava Gardner) et l'ambassadeur britannique, Sir Arthur Robertson (David Niven). 

Le 20 juin 1900, le quartier des ambassades est assiégé... (synopsis figurant sur la jaquette du DVD)

CE QUE J'EN PENSE

" Donner mon avis, est un peu exagéré ". Je ne me considère pas suffisamment fine stratège, connaissant l'art de la guerre pour pouvoir me permettre de faire une analyse affinée, de ce film. De plus, ce n'est pas la période historique à laquelle je me suis intéressée le plus, à tort certainement, moi qui aime l'Histoire. C'est donc ma sensibilité féminine qui va me dicter ce que je pense et, c'est bien mieux comme cela. 

Pour moi, c'est un grand film. Je crois que c'est le dernier de Nicolas Ray. Rétrospectivement, je me réjouis de savoir que Charlton Heston ne voulait plus tourner de film biblique (il avait été pressenti pour le film "La chute de l'Empire Romain") c'est ainsi que  le producteur Bronston lui proposa "Les 55 jours de Pékin", pour le personnage du Major Matt Lewis. Il y est tout simplement génial de rudesse, froideur, désinvolture parfois,  sens du devoir et pourtant qui lâchera prise, devant le désarroi de la fille métisse de son camarade d'armée qui sera tué. 

Ava Gardner en comtesse déchue ne m'a pas convaincue au début du film, seul son dévouement pour aider à soigner les blessés, m'a émue mais sans plus. 

David Niven est un ambassadeur britannique très convaincant. Son flegme naturel lui sied parfaitement pour interpréter un diplomate qui doit ménager la chèvre et le chou et maintenir la cohérence entre les parties occupant Pékin à cette époque (France, Etats-Unis, Grande-Bretagne, Russie), en quelque sorte, la répétition de ce que l'on peut considérer comme un prélude à la première guerre mondiale. 

Faits réels, c'est une page d'histoire à connaître. Bien sûr, il y a certainement quelques erreurs historiques vénielles, qui n'entravent pas le déroulement du film. 

Nous voyons, tout au long du film, la fille métisse en quête de l'amour de son père. Elle est comme une sorte de "fil rouge" qui nous bouleverse tant son besoin d'amour paternel est criant. Ce sera le Major Matt Lewis, qui enfin, se laissera attendrir par cette petite fille...La scène finale nous donne le frisson d'émotion et nous met les larmes aux yeux. Grand et tendre Charlton Heston ! 

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

LES 55 JOURS DE PEKIN (1964)

Les commentaires sont fermés.