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BEN HUR (1959) - " Au son de sa voix, tout esprit de haine m'a abandonné "

Quelques photos et une video à partir de mon IPhone... Cet après-midi, j'ai regardé une fois de plus, BEN-HUR, film dont je connais presque par cœur, les répliques...

Je suis une bien piètre photographe, je n'aurais pas eu le talent d'un metteur en scène ou d'un photographe professionnelle. Mais bon, c'est pour le plaisir, mon admiration indéfectible pour Charlton Heston.

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Dans ce film qui n'est pas simplement une aventure épique, il y a les dialogues dans lesquels quelques vérités sont assénées et qui n'ont pas perdu leur signification et actualité. Certains passages me font pleurer parce que la force émotionnelle avec laquelle Chuck nous transmet sa souffrance, son désir de vengeance et pour finir sa "rédemption", fait que nous ne sortons pas indemnes de ce film si prenant. Jamais plus, aucun acteur aura ce talent unique qu'avait Charlton Heston : "être" le personnage qu'il incarnait.

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Commentaires

  • formidable travail que le vôtre,France,c'est un bel outil pour tous les fans de Chuck,et aussi pour tous les amoureux du cinéma américain de la grande époque,car il y eut,il faut le dire,un âge d'or de l'intelligence dans ce pays!

  • Cher Renaud, merci pour votre commentaire qui m'encourage à continuer.
    Oui, comme vous le dites si bien, il y a eu un âge d'or de l'intelligence dans ce pays ...
    Il y a tant de façon de comprendre et "lire" les films que nous regardons.
    Vraiment, sans parti pris, pour moi, ce sera Chuck à tout jamais, qui aura fait que je me suis intéressée au cinéma américain dès mon adolescence. Qu'il en soit remercié car je pense qu'instinctivement, j'avais pressenti qu'il deviendrait l'acteur exceptionnel que nous connaissons et aimons, surpassant tous les autres de sa génération. C'est drôle d'ailleurs, car en 1955, l'acteur de mon adolescence était James Dean et pourtant ce ne fut pas lui mon chouchou, ce fut bien Charlton Heston car déjà sa stature virile m'avait impressionnée, alors que James Dean, pour moi, ne représentait pas un idéal masculin...Allez savoir "à quoi rêvent les jeunes filles" comme avait écrit Musset.

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